Martine holds a PhD in oceanography from Université Laval and has engaged in Arctic research through several Polar-related entities such as Québec-Océan, Takuvik, ArcticNet, NETCARE, SOLAS, Sentinel North, and Nunataryuk. In the past 15 years, she has explored marine microbial life, the “bug hub”, its sensitivity to environmental stressors, and its role in climate regulation through research in global oceanic waters, including those surrounding the four regions of the Inuit Nunangat. Her genuine passion for science, literacy, outreach, and knowledge transfer has led her to participate in over 20 expeditions, in cooperative in-the-field training, as well as in the mentorship of students, in the field, in the lab, and in classrooms. Her new position at ArcticNet aligns with her vision and hopes to catalyze the movement of knowledge from labs, research journals and academic conferences into the hands of people and organizations who will benefit from it and put it to practical use.

Titulaire d’un doctorat en océanographie de l’Université Laval, Martine Lizotte s’est investie dans la recherche sur l’Arctique, travaillant auprès de divers organismes spécialisés en recherches polaires, dont Québec-Océan, le Laboratoire de recherche international Takuvik, ArcticNet, NETCARE, la Convention SOLAS, Sentinelle Nord et le projet Nunataryuk. Au cours des 15 dernières années, elle s’est intéressée aux microbes marins, à leur vulnérabilité aux stresseurs environnementaux et à leur rôle dans la régulation du climat dans le cadre de travaux de recherche menés dans les eaux océaniques mondiales, dont celles qui entourent les quatre régions de l’Inuit Nunangat. Elle voue une véritable passion pour la science, la littératie, la sensibilisation et le transfert des connaissances, ce qui l’a amenée à participer à plus de 20 expéditions, à des programmes coopératifs de formation sur le terrain, ainsi qu’à l’encadrement d’étudiantes et d’étudiants sur le terrain, en laboratoire et en classe. Son nouveau poste à ArcticNet cadre parfaitement avec sa vision, et elle espère qu’il lui permettra de faire en sorte que les connaissances émanant des laboratoires, des revues scientifiques et des conférences universitaires soient accessibles aux personnes et aux organismes qui en tireront parti et les mettront en pratique.